L’été indien : point de ralliement
Hautes Études Manuel nous a organisé un......
Hautes Études Manuel nous a organisé un......
De retour après huit mois sans posts......
De retour des montagnes, notre skateur Arsène......
Avec Manu, on a donné un coup......
Le séminaire – ouvert à tous – proposera d’élargir aux conditions d’énonciation (situation/s, langue/s, localisation) la réception et la production de séquences langagières. Une problématique fondamentale qui s’impose dans des situations interlinguistiques et interculturelles afin de mesurer la compréhension entre co-énonciateurs dans une langue comme le français qui est notre point de repère.
Après avoir consacré deux années aux fondamentaux des esthétiques cinématographiques que sont la temporalité et la spatialité, on étudiera cette année sous quelle forme ces deux faces de l’ontologie du flux cinématographique entrent dans les diverses manières selon lesquelles les philosophes ont pensé le cinéma. L’hypothèse est qu’à ce jour les grandes « philosophies du cinéma » ont toujours été des mises en œuvre d’esthétiques cinématographiques spécifiques, et donc de manières spécifiques de conjoindre la question de la temporalité et de la spatialité. Chaque philosophie de ce type construit du même coup, soit explicitement soit en creux, une histoire spécifique du cinéma. En partant d’une analyse de trois figures marquantes dans le champ de la philosophie du cinéma, à savoir Kracauer, Deleuze et Cavell, ainsi que des implications esthétiques et historiographiques de leurs conceptions, on tentera en un deuxième moment de dégager les bases d’une philosophie « descriptive » du cinéma (en prenant appui notamment sur certains travaux menés en philosophie analytique tels ceux de Greg Currie et de Noël Carroll).
Le séminaire – ouvert à tous – proposera d’élargir aux conditions d’énonciation (situation/s, langue/s, localisation) la réception et la production de séquences langagières. Une problématique fondamentale qui s’impose dans des situations interlinguistiques et interculturelles afin de mesurer la compréhension entre co-énonciateurs dans une langue comme le français qui est notre point de repère.
Après avoir consacré deux années aux fondamentaux des esthétiques cinématographiques que sont la temporalité et la spatialité, on étudiera cette année sous quelle forme ces deux faces de l’ontologie du flux cinématographique entrent dans les diverses manières selon lesquelles les philosophes ont pensé le cinéma. L’hypothèse est qu’à ce jour les grandes « philosophies du cinéma » ont toujours été des mises en œuvre d’esthétiques cinématographiques spécifiques, et donc de manières spécifiques de conjoindre la question de la temporalité et de la spatialité. Chaque philosophie de ce type construit du même coup, soit explicitement soit en creux, une histoire spécifique du cinéma. En partant d’une analyse de trois figures marquantes dans le champ de la philosophie du cinéma, à savoir Kracauer, Deleuze et Cavell, ainsi que des implications esthétiques et historiographiques de leurs conceptions, on tentera en un deuxième moment de dégager les bases d’une philosophie « descriptive » du cinéma (en prenant appui notamment sur certains travaux menés en philosophie analytique tels ceux de Greg Currie et de Noël Carroll).
Comment l’évolution technologique de la vidéo a influencé mon œuvre, de 1969 à 2015
Peter Campus est une des grandes figures de l’histoire de la vidéo. Il appartient à la génération d’artistes américains qui dans les années 1970 commencent à explorer ce médium. Il réalise ainsi un certain nombre de vidéos dans lesquelles il se met en jeu, et d’installations dans lesquelles les notions d’espace et de perception sont fondamentales. Au cours de cette séance Peter Campus reviendra sur ses premières vidéos analogiques des années soixante-dix, en les mettant en relation avec ses travaux digitaux des vingt dernières années.
Séance présentée par Peter Campus.